L’Art de Clore les Débats : Abdellatif Hammouchi, une visite Européenne qui Fait taire les polémiques

Depuis plusieurs années, certains médias ont martelé sur l’impossibilité supposée pour Abdellatif Hammouchi, directeur général du pôle DGSN/DGST, de mettre un pied en Europe, notamment en France. Pourtant, récemment, ce haut responsable sécuritaire a magistralement réfuté ces allégations en effectuant une visite remarquée dans deux des principales capitales européennes : Berlin et Paris.

Cette histoire tumultueuse trouve ses racines en 2014, lorsque l’ONG chrétienne « ACAT » porta plainte à Paris contre Abdellatif Hammouchi pour des accusations de torture, des griefs aujourd’hui démystifiés par la justice française. Non seulement le DGSN/DGST fut innocenté de tout soupçon, mais il fut également décoré à deux reprises par les plus hautes autorités françaises et des plus importantes distinctions de la République. Cette fois-ci, à Paris, Abdellatif Hammouchi à reçu la Médaille d’honneur d’or de la Police nationale française pour l’excellence de la coopération entre le Maroc et la France dans tous les domaines sécuritaires.

Il est remarquable de constater comment les propagateurs de discorde, à savoir Ali Lmrabet, encore nostalgique de son défunt « Demain », Ignacio « Abdelhak » Cembrero, n’ayant (toujours) pas digéré son éviction d’El Pais et son départ précipité de sa cage dorée à Rabat et enfin, Zakaria Moumni, faux champion du monde de kick-boxing et malheureux maitre chanteur n’ayant pu obtenir les 06 millions d’euros impudemment réclamés à l’Etat marocain pour l’ouverture d’une salle de sport à Paris, ont continuellement adapté leur récit depuis 2014, variant selon leur humeur et leur coordination, sans jamais étayer leurs dires de la moindre preuve. Leur collaboration, de notoriété publique, est désormais transparente pour tous, même si leur récit sur Abdellatif Hammouchi prétendant qu’il « redoute » la justice française suscite aujourd’hui le ricanement.

Ces praticiens de la désinformation semblent convaincus de la véracité incontestable de leurs affirmations. Ils redoutent secrètement que la réalité d’un voyage d’Abdellatif Hammouchi en Europe ne vienne démentir leurs narrations préconçues et ternir ainsi leur crédibilité déjà fragile. C’est désormais chose faite. Leur obstination à ignorer toute version contraire et leur propension à inventer des scénarios pour justifier leurs dires révèlent une stratégie bien orchestrée visant à manipuler l’opinion publique.

Cette saga médiatique soulève des questions sur la responsabilité journalistique et l’éthique dans la diffusion de l’information. En effet, ces individus semblent aujourd’hui guidés par des intérêts particuliers et une coopération évidente, obscurcissant ainsi la frontière entre le journalisme d’investigation et la propagande.

Il est à craindre que ces acteurs ne cherchent déjà une nouvelle variante pour nuire à l’image d’Abdellatif Hammouchi, prête à être diffusée avec empressement et en chœur à la moindre opportunité. En cette période cruciale de fête du Trône, nos trois mousquetaires sont, chaque année, acculés à répondre, rapidement, aux ordres de leurs manipulateurs et rentabiliser l’argent des caporaux.

L’histoire d’Abdellatif Hammouchi et de ses détracteurs illustre non seulement les enjeux de la diplomatie et de la justice internationale, mais aussi les dangers d’une presse, qui se laisse influencer par des agendas cachés et des intérêts personnels, surtout avec l’émergence de la sacrosainte « liberté d’expression » sur les réseaux sociaux. Dans un monde où la vérité est souvent déformée au gré des narrateurs, il revient aux citoyens de faire preuve de discernement et de vérifier soigneusement les sources avant d’accepter comme vérité absolue ce qui leur est présenté comme tel.

Bouton retour en haut de la page