Francisco Carrion : Quand la plume vendue se perd dans l’insulte

Ah, Francisco Carrion, ce chevalier errant du journalisme moderne, ou plutôt, un mercenaire sous contrat avec les généraux algériens, qui a trouvé une nouvelle façon de briller : en insultant tout ce qui respire au Maroc. Sa dernière trouvaille ? Traiter les journalistes marocains de « chiens » et de « fous insensés » sur Twitter. Eh oui, rien de tel qu’un tweet rageur pour se faire remarquer lorsque le talent journalistique fait défaut !

La Confédération marocaine des éditeurs de journaux n’a pas manqué de relever l’absurdité de cet individu. Non seulement Carrion, à court de sujets intéressants, s’en prend à la presse marocaine, mais il pousse le bouchon jusqu’à insulter Sa Majesté le Roi et les autorités marocaines, les traitant de « corrompues et criminelles ». Ce brave homme semble avoir un agenda bien rempli : entre une interview avec Soulaiman Raissouni et quelques insultes gratuites, il trouve le temps de rappeler à ses abonnés combien il est dévoué à la cause… algérienne.

Le pseudo-journaliste Raissouni, récemment gracié par Sa Majesté le Roi, semble avoir vite oublié d’où il vient. Plutôt que de s’adresser aux médias marocains, il a préféré accorder une interview à Carrion, un journaliste davantage réputé pour son hostilité envers le Maroc que pour ses compétences professionnelles. Raissouni n’a pas hésité à dénigrer les journalistes marocains, les accusant d’être soumis au régime et dépourvus d’indépendance, afin de justifier les prétendus crimes commis par l’État marocain.

La Confédération, dans un élan de bon sens, appelle maintenant à boycotter les journalistes étrangers dont les principes sont aussi solides que du sable emporté par le vent. Elle demande une mobilisation générale contre ces pseudo-journalistes et mercenaires au service des ennemis du Royaume. La liberté d’expression, bien sûr, a ses limites, et Carrion les a largement dépassées depuis longtemps, bien qu’il semble inconscient de cela, enfermé dans son propre univers anti-marocain.

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