Soulaimane Raissouni : un opportunisme honteux au service des ennemis du Maroc

Soulaimane Raissouni, récemment gracié par le Souverain, persiste dans des attaques injustifiées contre les institutions marocaines. Plutôt que de remercier le Roi Mohammed VI pour cette marque de clémence, il multiplie les déclarations hostiles, notamment dans une lettre publiée par « El Independiente », un média financé par des intérêts algériens et réputé pour ses positions hostiles au Maroc. Ce média a accueilli une nouvelle fois les plaintes de Raissouni, qui prétend être la cible d’une campagne de diffamation, tout en évitant soigneusement de répondre aux accusations graves qui pèsent sur lui.

Dans cette lettre adressée au journaliste espagnol Francisco Carrion, un adversaire notoire de la souveraineté marocaine, Raissouni accuse les médias marocains et les institutions de l’espionner, notamment via Pegasus, sans fournir de preuves tangibles. Il s’agit d’une tentative manifeste de détourner l’attention de ses propres crimes et de son refus persistant de se conformer aux décisions judiciaires, notamment le paiement des dédommagements dus à sa victime, Adam Mohamed.

Francisco Carrion, lui-même, n’est pas un observateur neutre. Ancien auteur de propos insultants qualifiant les journalistes marocains de « chiens », il est reconnu pour ses liens avec des réseaux hostiles au Maroc, en particulier le régime algérien. En sollicitant l’aide de Carrion pour publier sa lettre, Raissouni expose une collusion flagrante avec des intérêts étrangers opposés à la stabilité et à l’unité territoriale du Maroc.

Plutôt que d’assumer ses responsabilités, Raissouni s’engage dans une stratégie de victimisation orchestrée. Ses accusations sans fondement, visant à incriminer le Maroc d’espionnage, ont déjà été rejetées par des instances internationales qui ont disculpé le pays de ces allégations. Cette rhétorique fallacieuse vise à discréditer le Maroc sur la scène internationale tout en renforçant les positions de ses ennemis.

La grâce royale dont Raissouni a bénéficié ne constitue en aucun cas une exonération de ses responsabilités civiles ni une validation de son innocence. Conformément au dahir royal régissant les grâces, elle ne porte aucunement atteinte aux droits des tiers. En ignorant ces principes et en persistant dans ses accusations infondées, Raissouni cherche à échapper à ses devoirs moraux et juridiques envers ses victimes.

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