L’ignorance au service de la désinformation: le cas de Hicham Jerando

Une fois encore, Hicham Jerando s’est distingué par des propos délirants. Dans une récente vidéo, il a présenté la Direction Générale de la Sécurité des Systèmes d’Information (DGSSI) comme une structure qui relevait autrefois de la DGST. Une contre-vérité manifeste, puisque la DGSSI, créée par le décret royal n° 2.11.590 du 21 septembre 2011, dépend directement de l’Administration de la Défense Nationale et n’a jamais eu de lien organique avec la DGST.

Ces sottises sur la DGSSI illustre parfaitement son ignorance, puisque chacun sait que la DGST est dédiée à la sécurité intérieure et à la lutte contre le terrorisme, tandis que la DGSSI a pour vocation exclusive d’assurer la cybersécurité du Royaume et de protéger les infrastructures critiques. Confondre ces deux organes revient à démontrer une méconnaissance totale des réalités institutionnelles.

En tout cas, cette confusion voulue ou non, illustre bien la stratégie de Jerando : brouiller les repères, distordre les faits et entretenir une illusion de polémique. Obsédé par les institutions sécuritaires marocaines, il accumule les amalgames grossiers dans le seul but de décrédibiliser des structures dont l’efficacité est reconnue. Son objectif n’est pas d’informer, mais de manipuler, quitte à répéter inlassablement les mêmes contrevérités devant un public de plus en plus limité.

Poussant plus loin ses divagations, il a voulu faire glisser l’idée que le Souverain aurait confié la cybersécurité au Général Abdellah Boutrig nommé à la tête de la DGSSI, en remplacement d’Abdellatif Hammouchi, une pure invention sans rapport avec la réalité. Cette mise en scène imaginaire n’a d’autre objectif que de salir la réputation de ce haut responsable dont le professionnalisme et l’intégrité sont reconnus.

En définitive, Jerando persiste dans un discours truffé de contradictions et de calomnies, nourri par une obsession maladive contre le Maroc. Ses obsessions compulsives contre les services de sécurité l’ont conduit à une succession de condamnations sans fondements contre le Royaumes et ses institutions souveraines, sans que l’expérience carcérale au Canada ne lui ait appris la retenue ou le respect des faits.

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