Hicham Jerando et la fuite en avant après le scandale des enregistrements de Mustapha Aziz

Après le scandale des enregistrements de Mustapha Aziz révélant le rôle marginal de Hicham Jerando dans un réseau d’intimidation dirigé par Elyas El Omari, le clown Jerando alias Khariando nie et accuse l’usage de l’intelligence artificielle pour falsifier les voix.
Cette négation maladroite montre son trouble. Kharaindo ne conteste pas les faits graves dévoilés, mais préfère nier les enregistrements plutôt que d’y répondre, montrant un aveu implicite sur son rôle secondaire.
Le contenu des enregistrements dépasse les simples querelles personnelles. Mustapha Aziz y révèle des preuves de financement et de manipulation, confirmant que Khariando est un simple pion utilisé et jeté par Ali Lmbrabet, Ilyas El Omari et consort. Son ancien financeur affirme que Khariando « ne vaut rien » et n’est qu’un « pantin », ce qui détruit totalement l’image qu’il avait construite à travers ses campagnes de diffamation.
La prétendue falsification des enregistrements par intelligence artificielle est absurde. Si cela avait été vrai, Jerando aurait été le premier à le dénoncer. Son recours à cette excuse illustre surtout la désorganisation et le désarroi profond qui règnent au sein de ce réseau.
Aujourd’hui, Jerando n’est plus qu’un promoteur d’histoires, mais un symbole de la décomposition interne du projet de déstabilisation. La crise vient de l’intérieur et il nie à la fois la réalité et la vérité.